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                           Castella M. AYIWANOU     Castella M. AYIWANOU                          La prostitution, un métier de certaines fllles                                                            Le plus vieux métier du monde communément appelé la prostitution en français, Aga en fon ; Alowa en Ifê, n’douba chez les congolais constitue malheureusement le dernier recours des filles et femmes qui ne veulent rien faire avant de manger, ou qui ne peuvent faire que ça pour pouvoir joindre les deux bouts. Considéré dès le début des années 1980 comme l’apanage des Togolaises et Ghanéennes, ce métier a embrasé le Bénin et des béninois se sont faites former par les ghanéennes et togolaises. A Cotonou, c’est jonquet le siège des filles de joie, mais aujourd’hui elles ont ouvert plusieurs marchés où les hommes vont acheter le sexe ; le prix d’achat varie en fonction de la minute, de l’heure, du jour, de la semaine, ou du mois. Étonnant n’est-ce pas mais chose curieuse et « commence » pour les pratiquants n’a pas de perte car la femme qui s’adonne à cela a : le capital et en même temps le bénéficie. C’est l’homme qui veut satisfaire sa libido qui prend en charge le déplacement de la fille aux cuisses légères, la restauration et aie avant l’appétit sexuel. Il faut aussi dire que les coups (éjaculations) ont leur prix et varie d’une fille à une autre. Si c’est une jeune fille encore dans la fleur de l’âge bon à croquer, c’est à partir de 3000/ coups selon les explications reçues. Chez les bonnes dames qui ont déjà au moins un enfant le prix chute. Pour les jeunes filles dont les seins sont en pistolet et qui ont une bonne haleine le prix varie également. on retrouve ces filles de joie un peu partout surtout la nuit : le long de la clôture CEG notre Dame, CEG Gbégamey, Hall des arts, station étoile rouge, Ménontin en face du super marché le Bénin, carrefour Godomey, tronçon CEG Godomey, stade de l’amitié. Le jour d’autres sont des serveuses dans les bars. Ce métier permet d’avoir le minimum et de pouvoir satisfaire ses besoins. Quelques prostituées rencontrées sur le terrain s’expliquent
AKOSSIWA Y. (mère de 3 enfants 25 ans béninoise) fille de joie
Moi, je suis dans ce métier depuis 7ans. J’ai commencé quand j’avais l’âge de 18 ans. Je me rappelle c’etait au Nigeria, où je faisais domestique chez une dame, mais un jour elle m’a sortie de sa maison sous prétexte » que je couche avec son mari. et comme je n’avais personne je dormais dans la rue, et difficilement je mangeais c’est là j’ai trouvé un monsieur qui m’a fait une avance et j’ai accepté après l’acte il m’a donné de l’argent et m’a laissé son contact. Le lendemain je suis encore allé au même endroit, j’ai trouvé un autre et ça s’est passé comme ça encore et c’est comme ça quand j’ai fait deux ans et je suis venu au Bénin, me suis lancé dedans aussi. C’est dedans j’ai fait mes trois enfants. Je ne me plein pas. Au Nigeria un alpha m’a fait de talisman et je porte et chaque soir j’ai au moins 5 clients à raison de 2500/ clients.
Nicole A. (béninoise 26 ans)C’est pas facile hein ce métier il y a des hommes qui sont violents, ils vont te laisser et tu ne peux pas te lever. Moi, vraiment au début j’ai trop souffert, même jusqu’à ce jour. Je reçois au moins 15 personnes par jour mais je te jure que je dois boire au moins 5 boites de lait peak. Je prie Dieu de trouver un peu d’argent et je vais cesser et commencer le commerce à Dantokpa pour pouvoir vite me marier. Vraiment je ne conseille pas ça à une sœur on souffre trop. J’ai des amies qui sont mortes en plein rapport, d’autres ont été assassinées, vraiment on souffre, d’autres t’amènent te baise proprement et refusent de te payer et te chassent mais moi c’est à côté on me baise. Ah c’est dur.
Causes et Consequences
Il existe aujourd’hui prétendument deux formes de prostitution et de traite : les unes sont volontaires, les autres ne le sont pas. Cette opposition entre volontaire et forcée permet d’expliquer, entre autres, que la prostitution est causée essentiellement par des conditions économiques déplorables et, en conséquence, certaines personnes, femmes et hommes confondus, décident en connaissance de cause d’exercer le « métier » du fait qu’il rapporte plus que beaucoup d’autres emplois.
Prostitution, pauvreté et fragilité
Pour la prostitution de « plein gré », il est donc question de choix personnel lié à une rationalité économique. Aussi, pour nombre d’auteurs, la pauvreté est une condition préalable, sinon le moteur essentiel de l’entrée dans la prostitution. Les causes sous-jacentes au trafic des êtres humains sont la pauvreté, le chômage, le manque d’éducation et d’accès aux ressources. D’un côté, les gens sont prêts à prendre le risque de tomber aux mains de trafiquants pour améliorer leur vie, et de l’autre, il y a une tendance chez les pays industriels à employer de la main-d’œuvre bon marché, non déclarée, et d’exploiter sexuellement les femmes et les enfants dans l’industrie de la prostitution et de la pornographie. Les femmes sont dans une position de vulnérabilité particulière en raison de la féminisation de la pauvreté, de la discrimination généticiste et de l’absence d’occasions éducatives et professionnelles dans le pays d’origine. Les pays africains sont en général les fournisseurs de l’Europe à cause de la paupérisation. Certains n’expliquent la prostitution que par la seule contrainte économique, plus particulièrement par la précarité sociale et l’absence de moyens alternatifs d’existence.
Elle représente une des rares voies d’accès à un niveau de vie auquel une origine sociale modeste et un faible niveau de compétence ne permettent pas d’arriver.
Raison sociale et psychologique dans la prostitution
Nul ne peut nier que la misère économique est le terreau fertile sur lequel se développe l’industrie de la prostitution. La prostitution, qui sévit massivement dans les pays du tiers-monde, est l’un des résultats de la catastrophe sociale et de la ruine économique qu’impliquent les politiques d’ajustement structurel, les privatisations, le libre échange à sens unique, bref la mondialisation et ses effets sur l’accroissement des inégalités sociales au sein des pays et entre les pays, ainsi que par l’aggravation fulgurante des pauvretés. Mais cela n’explique pas pourquoi certaines personnes se prostituent et d’autres se refusent à le faire. Autrement dit, l’argent semble être le moteur de tout et, pourtant, il ne constitue pas une explication satisfaisante. D’autres causes expliquent l’entrée dans la prostitution, car ce n’est pas n’importe quelle femme, ni n’importe quel homme qui accepte d’accomplir volontairement ce métier , qui réussit à passer à l’acte, à survivre dans un autre monde, même si l’argent constitue un attrait et le désir d’échapper aux piètres conditions sociales d’existence, une motivation. S’il y a des causes alimentaires et de survie à la prostitution, il existe aussi un déterminisme social et psychologique qui prédispose certaines personnes à la prostitution. Nombre de chercheurs refusent la dichotomie volontaire et forcée, car ils veulent comprendre les conditions sociales et psychologiques d’entrée dans la prostitution. Ils soutiennent que l’engagement dans la prostitution est la conséquence de facteurs multiples, d’un enchevêtrement de raisons économiques, personnelles, sociales et psychologiques. La fabrication de cette marchandise particulière a une histoire préalable, une histoire qui se déroule en amont. C’est le poids de cette histoire qui permet à une personne d’envisager de se prostituer, de vendre son sexe.
La vénalité triomphante
La mondialisation capitaliste implique aujourd’hui une « marchandisation « inégalée des êtres humains dans l’histoire. Depuis trente ans, le changement le plus dramatique du commerce sexuel a été son industrialisation, sa banalisation et sa diffusion massive à l’échelle mondiale. Cette industrialisation, qui est à la fois légale et illégale et qui rapporte des milliards de dollars, a créé un marché d’échanges sexuels, où des millions de femmes et d’enfants ont été transformés en marchandises à caractère sexuel. Ce marché a été généré par le déploiement massif de la prostitution, par le développement sans précédent de l’industrie touristique, par l’essor et la normalisation de la pornographie, ainsi que par les besoins de l’accumulation du capital. Cette industrie est désormais une puissance économique incontournable. L’industrialisation du commerce sexuel et sa transnationalisation sont les facteurs fondamentaux qui rendent la prostitution contemporaine qualitativement différente de la prostitution d’hier. La prostitution fait partie désormais de la stratégie de développement de certains États. A quelle fin servira Le développement des industries du tourisme et de divertissement ? Dans chacun des cas, l’essor de ces secteurs a permis l’envolée de l’industrie du commerce sexuel. De toute évidence, de nos jours L’industrie du commerce sexuel est de plus en plus considérée comme une industrie du divertissement, et la prostitution comme un travail.

au faite, moi, sincèrement je crois que les prostituées béninoises sont trop fortes, parce que voyez-vous quelles accepte de suivre leurs clients sans savoir ou elles vont et c’est courageux….euh moi c’est les assassinats des putes que je ne comprends pas, c’est bête de tué une créature qui te satisfait dans toutes les positions que tu veux, non sérieusement c’est bête, parce qu’elle sera peut-être prête a venir gratuitement te servir, je sais pas, dans un film porno ou des vidéo, c’est-à-dire baisser les prix,…..j’ai fait une expérience sans en baiser une d’entre elles, mais vraiment elles sont prêtent hein! il suffit que tu es le bonheur(l’argent) c’est la seul condition, je vous jure, et quand tu finit par la dire que tu blaguait, elle te poursuit, genre  » hé attends je vais te réduire le prix pardon attends » et elles te séduisent même……..vraiment il faudrait leurs faire une hôtel spéciale pour elles comme sa c’est plus facile parce qu’il y a des pays très 2 commentaires coolCastella M. AYIWANOU



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